avant la vente
En fonction de l’année de construction des copropriétés, des obligations de diagnostic peuvent s’appliquer aux parties communes. L’objectif de ces examens consiste notamment à assurer la sécurité des occupants et celle des professionnels chargés d’entretenir les biens en copropriété.
Tous les diagnostics relatifs aux parties communes incluent un volet de conseils, pour aider les gestionnaires à améliorer le (ou les) bâtiment(s). Par exemple, les copropriétés antérieures au 1er janvier 1949 doivent faire l’objet d’un CREP.
Ce constat informe sur le risque d’exposition au plomb pour les occupants et sur les solutions pour limiter ce risque. Dans les copropriétés conçues avant juillet 1997, un contrôle de l’amiante s’impose : le DTA.
Il permet d’identifier les éléments à base de fibres d’amiante, potentiellement toxiques, de contrôler leur état de conservation et d’obtenir des conseils pour la protection des habitants et celle des professionnels amenés à intervenir pour l’entretien du bien, sa rénovation, etc.
Le DPE collectif est un autre diagnostic à réaliser dans les copropriétés, afin d’évaluer leur niveau de performance énergétique et de recevoir des suggestions de travaux d’amélioration permettant une diminution des frais pour les personnes occupant un lot.
Enfin, pour obtenir des recommandations générales sur les moyens de conserver un bien en bon état et d’améliorer la gestion patrimoniale, le diagnostic technique globale est incontournable.
La réalisation d’un DTG est même nécessaire pour la création de nouvelles copropriétés dans des bâtiments de 10 ans et plus.